Le pays de milles formalités
Il est déjà pour les
Colombiens une habitude souffrir et supporter les plusieurs conditions pour les
documentations, registres, les paiements et les retraites des services. Il
semble trop de formalités qui empêchent la bonne démarche du système de la
santé et services.
Pour la plupart de
Colombiens faire de démarches est presque une torture due aux difficultés
qu’elles impliquent. C'est le cas de plusieurs « infortunés » mais plus
exactement des patients dans les hôpitaux ou cliniques (une cause des
nombreuses réformes et changements « positifs » dans le système). Dès avoir des
rendez-vous, les ordonnances médicales, les traitements, etc… Les patients dans
le système de santé souffrent et doivent satisfaire les exigences qui peuvent
bloquer les nécessités du patient et mettre en difficulté leurs propres santés
et leurs droits.
Sans doute, l’organisation des sollicitudes, fiches des
infos, accumulation de formules et toutes les procédures nécessaires demandent
beaucoup du temps. Il faut être raisonnable et comprendre qu’il y a des
mécanismes à accomplir. Cependant, la santé doit être conçue comme un droit
primordial, privilégié sur certaines conditions et situations comme la durée
pour fixer un rendez-vous, les résultats médicaux et recevoir les médicaments,
quelques fois inappropriées. La question qu’on se pose à cette problématique
est donc, est-il système de santé colombienne insuffisante ou plutôt
difficultueux ? Quelle soit la réponse, il est vraiment indispensable modifier
le régime de telle sorte que tous puissions nous bénéficier d’un service
médical et hospitalier équilibré et idéal, n’importe les conditions
socioéconomiques des gens.
Comment
le faire ?
Malheureusement, la santé
est vraiment influencée par les lois politiques qui, paradoxalement cherchent
la mise en difficulté des démarches les majorités de fois redondantes. En
revanche, les droits des bénéficiers du service sont lentement connus par un
grand pourcentage de patients. Il reste donc arriver à une solution par les
deux parties puisque le changement n’arrivera jamais si on continue en faisant
les mêmes choses.
En conclusion, on remarque
l’obligation de la santé et tout l’organisme de contrôle de contribuer à la
société. C’est ne pas une critique qui vise à confondre ou aller plus loin des
problèmes, mais à motiver aux personnes à améliorer un système dont on se
bénéfice.